L'empreinte du craqueboule

Bon voilà un petit rp complétement stupide (ça vous étonne?) dans lequel les journaliste de base de l'empreinte, c'est à dire: Khaalya, Odhana, Youffie, Amla, Eddeck, Tuk et moi sont sous leur forme "bébé". Je sais que je me suis aproprié vos persos sans vous demander mais ça n'a vraiment pas pour but d'être la réalité hein :p Aussi si ça vous pose un probléme quelconque dites le moi et je m'en excuse d'avance. Je m'y suis pris trop tard pour vous demander si j'avais le droit. J'ai donc fait le rp en espérant que ça vous plaise :p

Ah et je m'excuse aussi pour les illustration de piètre qualité (paint powaaaa ^^)

Citation :

L’empreinte du Craqueboule

L’empreinte du craqueleur, journal mondialement connu en Amakna, créé par une équipe de choc encore meilleure que l’agence tout risque, il a une histoire palpitante digne des plus grands parchemins de science fiction. Nous allons vous raconter cette histoire… Pour cela, il faut remonter très loin dans le temps.

Touffie leva le poing en l’air, poussant un cri de victoire. Sa lance venait de transpercer de part en part un Kanimouth, gros animal des plaines de cania, poilu armé de longues défenses. Chasseuse hors paire, elle ramènera à manger à toute sa tribu ayant élu domicile dans une grotte au nord des landes de Sidimote.

Cette scène se passe il y a des millions d’année avant notre ère. Aussi il serait trop long de tout vous raconter jusqu'à aujourd’hui. Nous allons donc faire un bond prodigieux dans le temps grâce à la super technologie qu’est notre imagination.

Nous voici donc en 610 dans la plus prodigieuse cité de l’univers : Astrub

Tuk-teufti revint en pleurant, une grosse marque dans la figure.

« Mamaaaaaaaaaan ! Le Craqueboule il m’a fait maaaaaaaaal ! »

Les deux parents regardèrent leur fils, consternés. Ils commençaient à se demander si leur rejeton allait donner un bon sacrieur.

« Allons, allons, va jouer avec tes petits camarades. »

Du haut de ses deux ans, Tuk renifla et sécha ses larmes avec sa main. Puis il fit demi-tour maladroitement et se dirigea en titubant vers ses amis. Il commençait juste à se tenir sur ses pieds et sa couche culotte (-souvent pleine il faut le dire-) ne l’aidait pas à garder l’équilibre. Il tomba en avant devant Eddeck en train d’assembler des formes. A force de taper dessus, il avait réussit à faire entrer le carré dans le trou rond.

« Hihi, c’est marrant la trace que t’as sur le visage. C’est quoi ?

- C’est une empreinte de craqueboule. » Répondit Tuk.

Samus passa à quatre pattes à toute vitesse derrière lui, une couche culotte à la main, poursuivie par Khaalya, fesses à l’air.

« Elle m’a piqué ma couche ! Rend la moi ! Ma couche ! »

La petite iopette, alors qu’elle allait se faire rattraper, lança son larcin à son compère Amla qui se tenait plus loin. Malheureusement, n’ayant pas travaillé leur passe, la couche atterrit sur la tête de Youffie. Celle-ci n’avait pourtant rien demandé. Seule dans son coin, elle tenait entre ses mains un dictionnaire à l’envers.

« Qui a éteint la lumière ? J’ai peur du noir ! » S’exclama t’elle. Puis, elle renifla, assaillie par les odeurs de la couche de Khaalya.
(Pour savoir ce qu’a ressentit Youffie à ce moment là, nous vous proposons une petite expérience. Pour cela vous avez besoin de deux choses : Un peu de coton et un chacha. Imbibez le coton de pisse de chacha et mettez le dans vos narines. L’empreinte se désengage des responsabilités découlant des risques de cette expérience.)
Nul doute que ce drame a laissé des séquelles chez la pauvre iopette, l’urine de chat étant tellement nocive qu’elle en a attaqué les rares cellules du cerveau. Aussi, le résultat ne se fit pas attendre, elle s’évanouit.
Les bébés se regroupèrent autour de la victime. Eddeck sortit un calepin et un stylo. Puis il commença à écrire frénétiquement. Voici le résultat :

Ce qui en langage de bambin équivaut au nom, prénom, sexe, age, date et cause du décès. C’est alors qu’Odhana surgit de sous un meuble et prit les notes du iop.

« Mais c’est bourré de fautes ! » s’exclama t’elle.
Alors qu’Eddeck tentait de reprendre son bien, elle lui mordit la main. Déjà à l’époque, elle était allergique aux erreurs d’orthographe.

« Elle est cassée ? » Demanda Khaalya, incrédule en touchant prudemment, du bout de sa griffe, le corps mou de Youffie.

« Mais non, un bon coup de fouet et il n’y paraîtra plus ! » s’écria Amla excité, ayant sortit une lanière de cuir de son entrejambe.

« Du calme, elle se réveille » apaisa Tuk. De par son charisme naturel et son look rebelle (imaginez un sacrieur sans cicatrice ni trace de sang), il s’était affirmé comme le leader du groupe. Un chef né.

« Vous pensez qu’elle va bien ? » demanda Odhana, inquiète en voyant Youffie se redresser malhabilement.

« Qui suis-je ? » Demanda la iopette avec un sourire niai, bavant légèrement.

« Ca va, elle est dans son état normal. » Rassura Tuk en hochant la tête.

Samus se mit à rire en pointant du doigt le visage du petit sacrieur.
« Ouhou ! Tuk-Touptit a fait une peinture de guerre ! »

Tuk ne savait pas si Samus faisait exprès d’écorcher son nom. Il est vrai (et encore actuellement) que sa taille est source de complexe. Aussi, il se vexa, son visage passant successivement du blanc au pourpre.

« TEUFTI ! MON NOM C’EST TUK-TEUFTI !»

« Ok p’tit chef ! » Répondit-elle en fermant les yeux. (Ne sachant pas faire de clin d’œil, elle fermait les deux yeux)

Tuk se releva de toute sa taille, ce qui n’était guère difficile.
« Ecoutez moi bien. Je veux prouver à mes parents que je suis digne d’être leur fils ! Que je suis un homme, un vrai, et qu’un simple craqueboule ne peut me vaincre. C’est pourquoi, en tant qu’amis, je compte sur vous pour m’aider à lui donner une bonne correction ! » Dit-il. Cette tirade fut suivit d’un gros blanc, brisé peut de temps après par Samus, qui, les bras croisés, bougonna.

« Moi je préfère jouer au docteur. »

Suivit par Youffie :

« Moi j’ai rien compris »

Eddeck se curait le nez, Khaalya jouait avec un papillon entré précédemment par une fenêtre -résultat, elle buta dans la bibliothèque et se prit un livre sur le crâne – Odhana quand à elle avait mystérieusement disparu avec Amla. (NB pour le lecteur : Vous en penserez ce que vous voudrez mais je ne démentirai pas si vous me dites que les Osamodas sont très précoces)

« Bon, je reformule : On fonce dans le tas et on l’explose » ré expliqua Tuk aux plus simples d’esprit. Aussitôt les trois iops dressèrent les oreilles. Etant soumis à leurs instincts primaires, ils sortirent tous leurs épées. Puis avant que Tuk puisse rajouter quelque chose, ils sautèrent par la fenêtre et partirent à l’assaut du craqueboule en train de jouer dans un bac à sable à l’extérieur.

« Eh ! Attendez moi ! » S’exclama Tuk alors que ses trois compagnons étaient déjà loin dehors. Il les suivit. Khaalya, quand à elle, était toujours assommée au fond de la salle, la tête sous le livre, le papillon sur le livre en train de rigoler.

Nous voici donc réuni pour le match de l’année. A ma droite nous avons l’équipe Craqueboule, composé d’un craqueboule. A ma gauche l’équipe Baby, composé de Tuk, Youffie, Eddeck et Samus.

Et c’est partit ! Le match commence très fort avec une attaque directe d’Eddeck qui entaille très légèrement le pied du craqueboule. Celui-ci ne se rend pas compte de l’attaque et continue de faire son château de sable. C’est maintenant Youffie qui part à l’assaut bondissant sur le crâne de l’adversaire. Enfin en théorie seulement… Elle ne sait toujours pas calibrer ses bonds et atterrit dans le buisson de l’autre coté du jardin. Voici maintenant Samus qui a déjà compris où il fallait frapper, elle se jette entre les jambes du craqueboule pour porter un coup fatal mais celui-ci à la mauvaise idée de s’asseoir. Tuk, n’est toujours pas arrivé sur le terrain

Action numéro 2 : Il n’y a qu’Eddeck de valide dans l’équipe des baby’s. Il bondit sur le bras du craqueboule et tente de le mordre furieusement. (Vous comprenez maintenant pourquoi Eddeck à un dentier aujourd’hui)
Youffie est perdue dans le buisson et ne distingue plus le haut du bas.
Samus se débat et étouffe légèrement, elle commence à creuser un tunnel pour se sortir du machiavélique piège dans lequel elle est tombée.
Tuk est au sol, complètement essoufflé.
Le craqueboule n’a toujours pas conscience de l’attaque et vient de terminer la deuxième tour de son château.

Action numéro 3 : Eddeck ramasse ses dents éparpillées dans le sable, trouve un diamant et l’avale pensant que c’est une friandise. (Le diamant n’est toujours pas ressortit à l’heure actuelle, avis aux amateur de disséquage de iop)
Youffie est enfin sortit du buisson et s’est retrouvé nez à nez avec le chienchien du voisin. Paix à son âme.
Samus est enfin sortit de son tunnel mais elle est dans un endroit bizarre où les gens sont tout jaune, ont les yeux tirés et parlent étrangement.
Tuk vire au bleu.
Le craqueboule se gratte les aisselles.

Action numéro 4 : Eddeck repart à l’assaut mais oublie de baisser son arme pour frapper. Il s’écrase contre le dos du craqueboule. (Vous savez maintenant pourquoi Eddeck à un nez aussi ridicule)
Youffie à bouffer le chienchien et fait une sieste digestive dans la niche de l’ancien propriétaire.
Samus est enlevée par des hommes en noir et conduite dans une cave où elle deviendra cordonnière à vie pour un salaire de un kamas par mois.
Tuk se relève, fait les lacets de ses chaussures à scratch et bondit sur le crak, toutes griffes et dents dehors.
Le craqueboule se retourne et voit Tuk arriver sur lui. Il tend sa main qui accueille le petit sacrieur.

Résultat du match :
Craqueboule vainqueur.

Faits notables du match :
Une sieste, disparition d’un chienchien et d’une petite iopette, chirurgie inesthétique gratuite pour Eddeck, une autre empreinte de craqueboule pour Tuk, construction d'un château de sable (mais pas en Espagne).

Suite à ce dramatique combat, le temps passa. (Si si c’est vrai !) La petite communauté grandit ensemble. Tuk garda ses empreintes au visage et elles grandirent avec lui. Ci bien qu’actuellement, on dirait des empreintes de craqueleur, d’où le nom du journal. Voilà, vous savez tout !

Et demain ?

Refaisons un bond dans le temps. Nous voilà en l’an 2638. Apla ouvrit sa boite mail. Il venait de recevoir un message de l’empreinte du megacraqueleur. Tuk-Papti, descendant lointain de notre Tuk actuel à perpétué la tradition du journal. Les empreintes sur le visage étant devenu héréditaires et permettant ainsi de garder le souvenir.
Apla alluma son téléviseur. On y voyait une émission où des archéologues ont découvert les premiers locaux de l’empreinte. Ils ont trouvé à l’intérieur les corps momifiés de tous les journalistes, morts en plein travail. Ils ont bossé jusqu'à leur dernier souffle et ont donné le meilleur d’eux même pour fournir un journal de qualité aux gens. C’est un esprit noble, pure, beau, généreux et tout ce que vous voulez.
Pendant ce temps, Apla se prit une bière.

Du grand n'importe quoi !
Comme tu sais si bien le faire ^^
J'ai pas mal rit (comme le papillon me diras tu ...) mais par contre je me verai obligé de dire que je ne cautionne en rien le contenu

Beuh! J'le bouffe moi ton papillon!

Un peu spécial en tout cas

Mais j'ai pas de souci pour la parution. (M'en fous, on me voit quasiment pas ^^)

C'est du très grand n'importe quoi XD

J'avoue que je ne me souvenais plus très bien d'où venait la forme de mon nez, traumatisme post-opératoire qui a poussé à l'amnésie sans doute... Et le secret de mon dentier révelé, argh, mon sex-appeal gâce à mon sourire colguète va en prendre un coup !

J'ai bien rigolé